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1 février 2024 4 01 /02 /février /2024 08:59

J'ignore encore qui est sur le qui vive dans ce roman. L'héroïne dans son errance est si peu sur le qui vive qu'elle se met en danger. Ainsi lorsqu'elle est prise en stop, elle est se fait sermonner en ces termes : "  Non mais t’es une psychopathe ou une gauchiste pour faire du stop ici ? Tu veux avoir la mort de nos chers soldats sur la conscience ? Allô, tu vis où ? Parce que l’espérance de vie, seule sur cette route, elle est à peu près de cinq minutes, les plus sauvages t’auraient massacrée sur place, les plus intelligents t’auraient enlevée et emmenée à Naplouse ou Ramallah pour t’échanger contre dix mille terroristes, et là qui serait venu te chercher, hein, dis-moi ? Et ça aurait coûté combien à l’armée ?"

 

La mort de Léonard Cohen en 2016, les années COVID 2020-2021, la disparition de son grand-père, la découverte d'un manuscrit racontant la création d'un violon dans les affaires du grand-père, le déclenchement en 2022 de la guerre en Ukraine, la perte du toucher et le blocage juste avant d'aller en cours, voilà ce qui pousse Mathilde à tout quitter : son travail de prof d'histoire-géo, son conjoint Julien et leur fille. Un soir, elle part sans laisser d'adresse, elle prend un taxi sans but précis, elle prend un avion et atterrit en Israël  ! Là, elle erre toute la journée sans but et se retrouve la nuit près de la frontière syrienne. Elle passe la nuit dans un char abandonné et le matin des sangliers viennent la réveiller ! Elle va retrouver un homme de sa famille qu'elle avait connu lorsqu'elle était enfant et plus tard, au cours de ses errances, elle retrouve une punkette croisée dans l'avion. C'est grâce à elle qu'elle se retrouve au théâtre où une amie met en scène une pièce réunissant Bérénice et Xiphilin mais la première se joue dans une confusion extrême...

 

Bien sûr, Mathilde est proche de Valérie Zénatti et le récit profite de l'expérience de son autrice, mais je trouve qu'il manque de cohérence, l'errance est sans but véritable, la nuit dans un char est peu vraisemblable et la pièce de théâtre rappelle Le Quatrième Mur de Sorj Chalendon mais en moins percutant car ici c'est le sujet de quelques pages seulement.

 

 

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12 septembre 2020 6 12 /09 /septembre /2020 22:23

Ce roman est le 14ᵉ de la série des Rougon-Macquart mais certainement pas le plus lu parmi les nombreux récits de Zola.

Or celui-ci présente la singularité de montrer son auteur à peine déguisé sous le pseudo de Sandoz en pleine époque de création et d'écriture des Rougon Macquart ! Ce Sandoz qui offre à diner tous les jeudis à ses amis artistes est comme les artistes qu'il reçoit, tourmenté par l'œuvre qu'il entreprend et s'acharne sur la moindre phrase avant d'aboutir mais lui au moins réussit à produire et même à se batir une fortune suffisante pour mener à Paris un train de vie de bourgeois. C'est loin d'être le cas de son ami Claude Lantier (fils de Gervaise et d'Auguste Lantier, frère d'Etienne Lantier) qui, malgré son talent reconnu et malgré son acharnement au travail, ne parviendra jamais à produire l'Oeuvre qui lui tient tant à cœur. Claude est peintre, Zola s'inspire de son ami Cézanne. Il est à l'initiative d'un mouvement novateur nommé le "plein air" qui conteste la peinture académique et cherche à s'imposer dans les "salons des refusés" mais même dans ces salons, Claude ne parvient pas à percer. Il a épousé Christine dont il a eu un fils hydrocéphale. Christine est devenue son modèle jusqu'à ce qu'elle finisse par comprendre que la peinture est sa rivale, précisément la femme qu'il peint d'après elle. La fin est évidemment tragique. Les personnages de ce roman sont ainsi des êtres tourmentés, dans le cas de Claude, jusqu'au suicide.   

L'Oeuvre permet d'explorer l'univers des artistes parisiens notamment des peintres impressionnistes et post impressionnistes : certains vivent dans la misère noire, d'autres s'embourgeoisent car le commerce des œuvres d'art est en plein essor, d'autres encore comme Bongrand ont connu le succès mais se tourmentent désormais car  comment renouer avec le succès et créer un tableau comme sa "Noce au village" ?

La plume de l'auteur épouse tantôt le regard de ses personnages mais même sans cela, elle se fait volontiers pinceau ce qui donne de fréquentes descriptions de Paris, de ses lignes, de ses formes, de ses couleurs et lumières à divers moments des jours.

extrait : Par les jours de ciel clair, dès qu'ils débouchaient du pont Louis-Philippe, toute la trouée des quais, immense à l'infini, se déroulait. D'un bout à l'autre, le soleil oblique chauffait d'une poussière d'or les maisons de la rive droite ; tandis que la rive gauche, les îles, les édifices se découpaient en une ligne noire, sur la gloire enflammée du couchant. Enfin cette marche éclatante et cette marge sombre, la Seine pailletée luisait, coupée des barres minces de ses ponts, les cinq arches du pont Notre-Dame sous l'arche unique du pont d'Arcole, puis le pont au Change, puis le Pont-Neuf, de plus en plus fins, montrant chacun, au-delà de son ombre, un vif coup de lumière, une eau de satin bleu, blanchissant dans un reflet de miroir ; et, pendant que les découpures crépusculaires de gauche se terminaient par la silhouette des tours pointues du Palais de Justice, charbonnées durement sur le vide, une courbe molle s'arrondissait à droite dans la clarté, si allongée et si perdue, que le pavillon de Flore, tout là-bas, qui s'avançait comme une citadelle, à l'extrême pointe, semblait un château du rêve, bleuâtre, léger et tremblant, au milieu des fumées roses de l'horizon. Mais eux; baignés de soleil sous les platanes sans feuilles, détournaient les yeux de cet éblouissement, s'égayaient à certains coins, toujours les mêmes, un surtout, le pâté de maisons très vieilles, au-dessus du Mail; en bas, de petites boutiques de quincaillerie et d'articles de pêche à un étage, surmontées de terrasses, fleuries de lauriers et de vignes vierges, et, par-derrière, des maisons plus hautes, délabrées, étalant des linges aux fenêtres, tout un entassement de constructions baroques, un enchevêtrement de planches et de maçonneries, de murs croulants et de jardins suspendus, où des boules de verre allumaient des étoiles. Ils marchaient, ils délaissaient bientôt les grands bâtiments qui suivaient, la caserne, l'Hôtel de ville, pour s'intéresser, de l'autre côté du fleuve, à la cité, serrée dans ses murailles droites et lisses, sans berge. Au-dessus des maisons assombries, les tours de Notre-Dame, resplendissantes, étaient comme dorées à neuf. Des boîtes de bouquinistes commençaient à envahir les parapets ; une péniche, chargée de charbon, luttait contre le courant terrible, sous une arche du pont Notre-Dame.

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21 février 2019 4 21 /02 /février /2019 19:55

Ce texte est un roman. L'auteur de ce texte est Muriel Zürcher. Ce livre a été écrit en 2016 en français.

Les personnages principaux sont Sam, Bonnie et Nora Laval. Sam a 17 ans et il vit dans un petit appartement. La nuit, Sam graffe les animaux d'un vieil imagier sur les murs de Paris et le jour, il joue aux échecs avec sa voisine, Madame Decastel. Il chante également aux enterrements des SDF morts à la rue

Bonny a 5 ans, ses parents sont décédés. Elle vit donc dans un foyer pour orphelins. Un jour, elle fugue et décide que Sam sera sa nouvelle famille : elle ne le lâche plus !

Nora Laval est capitaine de police. Elle doit s'occuper de capturer le graffeur adoré des réseaux sociaux et retrouver la petite fille Bonnie et son kidnappeur supposé mais elle doit aussi concilier son travail avec sa vie de famille.

Julie M 4D

3 raisons en 3 mn par Marie, 4D

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23 juillet 2018 1 23 /07 /juillet /2018 12:52

J’ai beaucoup lu Stéphan Zweig mais je n’avais jamais lu ce récit qui n’a été édité que très récemment. Enfin,

en 2008 ... ce qui fait déjà 10 ans. C’est justement presque le temps qui sépare les premiers émois amoureux et les retrouvailles de Louis au début du récit, sorte d’avatar du jeune Frédéric Moreau de L’Education sentimentale et de cette femme _avatar aussi de Mme Arnoux_ dont on ignore le prénom comme le nom. Durant ces 9 années de séparation la première guerre a commencé et fini. Au moment des retrouvailles une manifestation patriotique semble annoncer une nouvelle guerre. Le temps passé aurait-il effacé les mauvais souvenirs de la première guerre du moins assez pour que les hommes en préparent une nouvelle ? Ce temps passé a pourtant un effet contraire sur l’amour : Louis et son amour n’ont rien oublié mais rien n’est plus possible pour eux. Les vers du « Colloque sentimental » Verlaine autrefois récités par la femme reviennent à l’esprit de Louis et sonnent le glas de l’amour :
« Dans le vieux parc solitaire et glacé. »
On retrouve ainsi les thèmes favoris de Zweig dans ce récit mais la mélancolie est prégnante. L’amour ne revient pas, la guerre, si. Louis s’en effraie à leur arrivée à Francfort : «  Ils sortirent de la gare, mais à peine passée la porte, un grondement les assaillit scandé par des tambours, traversé de sifflements stridents, vacarme imposant, retentissant - une manifestation patriotique d’associations d’anciens combattants et d’étudiants. Mur mouvant orné de drapeaux, se succédant par rangées de quatre, des hommes à l’allure militaire marchaient au pas de parade, en cadence, comme un seul homme, la nuque raide, rejetée en arrière - résolution violente- la bouche grande ouverte, pour chanter, une voix, un pas, une cadence. Aux premiers rangs, des généraux, sommités chenues, couverts de décorations, flanqués d’une organisation de jeunesse, portaient à la verticale, avec une raideur athlétique, des drapeaux gigantesques, têtes de morts, croix gammées, vieilles bannières de l’Empire, flottant au vent, ils bombaient le torse, le front rejeté en avant, comme s’ils avançaient à la rencontre de batteries ennemies. [...] « Folie » balbutia-t-il à part lui, stupéfait, pris de vertige. Que veulent-ils ? Une fois de plus, une fois de plus ? » p 85-87
Dans cette édition le texte de Zweig écrit en allemand est présenté à la suite du texte traduit par Baptiste Touverey.

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4 décembre 2017 1 04 /12 /décembre /2017 21:47

Cette oeuvre est un roman, c'est écrit sur la couverture. Dans les cinquante cinq premières

pages, j'en ai presque douté tant la description de la violence que vivent les personnages mais aussi les personnes est épouvantable. Les cinquante cinq premières pages semblent être une sorte de reportage sur les horreurs que subissent les femmes quand elles deviennent objets sexuels ou quand le viol est une arme de guerre.

Ensuite, heureusement, le roman reprend le dessus : les deux héros acquièrent un prénom, une histoire, un univers qui leur est propre. Ils s'humanisent et deviennent attachant, l'un comme l'autre, la jeune fille victime, comme son tortionnaire qui se révèle lui aussi victime du destin. Ces pages sont particulièrement touchantes et bien écrites. On y lit par exemple : "Elle comprend ou croit comprendre cela très vite, Marie. Que pour qu'on l'aime il lui faudra sans cesse s'inventer. Et plus elle grandit, plus il lui semble que dans une simple répétition de ce qu'elle est : une enfant vive et facétieuse, ce qui suffit à beaucoup, elle disparaîtrait. C'est une conviction qui la taraude, qui la pousse aux prouesses tout en faisant grandir en elle une perpétuelle inquiétude." (p 70) ou à propos d'Édouard, son tortionnaire : "Il faut dire qu'il a été invisible avant d'être irregardable. Son père, produit du bel amour, en quête de grandeur, devenu chirurgien des guerres lointaines , réparateur mercenaire des gueules fracassées _ quelle ironie _, ne rentre que rarement auprès des siens et, lors, flamboyant, héroïque, les pensées restées au front.  Il n'a, pour son calme foyer, que peu d'attention." L'ironie dont il est question ici fera disparaître le  père "chirurgien des gueules cassées" quand son fils  en aura le plus besoin.

Une troisième partie nous dévoile la souffrance des parents et amis. Les voilà contraints de parler devant une caméra, trois ans après la disparition de Marie. Cette partie du roman m'a semblé moins émouvante, moins crédible, plus froidement clinique. Cela se rapproche trop clairement de la réalité, cela sent l'enquête.

Entre les pages de cette histoire de Marie et d'Édouard, l'auteure glisse de courts paragraphes au milieu de pages blanches pour évoquer les femmes, partout dans le monde, "prises sans répit tout au long de l'histoire humaine [...] jetées, livrées aux crachats ou finies à la machette, à la kalach, à mains nues" (p 66)

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 10:41

Auteur : ZOLA Emile001966070

Titre de recueil : NANTAS

Editions : NATHAN

Collections : Collège

Titre des nouvelles que contient ce recueil : NANTAS / NAÏS MICOULIN

 

Abécédaire des mots clés que contient ce recueil avec citations et n° de page de ces citations :

A : page 80 Il faut connaître Aix, la tranquillité de ses rues où l’herbe pousse, le sommeil qui endort la ville entière, pour comprendre quelle existence vide y mènent les étudiants.

 

B : page 84   « Quinze jour plus tard, la famille Rostand partait pour la Blancarde. »

 

C : page 78   « Il avait acheté à vil prix un hôtel superbe, rue du collège. »

 

D : page 22    «  Le baron Danvilliers était dans le salon qui lui servait de cabinet  ( …) »

 

E : page 77 « La grande affaire était de savoir s’il avait à l’Estaque, le coin du littoral où les Rostand possédaient leur propriété, la Blancarde, que les Micoulin cultivaient. »

 

F : page 78 « N’ayez pas peur, monsieur Frédéric, répondait Naïs. Vous pouvez venir. »

 

G : page 21 « Le père ignore tout, la grossesse n’est encore que peu avancée (…). »

 

H : page 17 « Le soleil se couchait derrière les grand arbres de l’hôtel Danvilliers, (…) »

 

I : page 14 « Il se serait enfui vingt fois, si son devoir de fils ne l’avait cloué à Marseille, près de son père   tombé d’un échafaudage et devenu impotent. »

 

J : page 44 : « Et, aujourd'hui, continua la jeune femme, voilà qu'il veut que je l'aime... »

 

K : je n’ai pas trouvé

 

L : page 44 : « Le baron se tourna vers Nantas, qui, livide, reculait. » 

 

M : page 53 : «  Elle eut d'abord l'idée de se vendre à la femme, après s'être vendue au mari. »

 

N : page 52 : «  Dès lors, Nantas se tourmenta moins. »

 

O : PAGE 60: «  Puis, il appela successivement plusieurs employés, pour leur donner des ordres. »

P : page 62: « Au loin, Paris commençait son labeur de ville géante »

Q : page 56: « Il savait qu'il serait vivement attaqué à la Chambre, et il lui fallait préparer une quantité considérable de documents »

 

R : page 52: « Je la vois triste depuis quelques semaines, et j'ai songé à vous, pour obtenir des renseignements. »

S : page 52 : « Il lui promit de la récompenser de ses services »

T : page 61 : « Le revolver était sur la table boiteuse, à portée de sa main »

U : page 19 : « Il n'y a, dans tout ceci, que le vif désir de vous être utile »
V : page 24 : « Mais il ne put continuer, l'émotion l'étranglait ; il craignait de céder à quelque violence. »
W : je n’ai pas trouvé

X :  je n’ai pas trouvé

Y : page 51 : « On ne devinait ses luttes qu'à ses yeux plus profonds, cerclés de noir, et où brûlait une flamme intense. »

Z : page: première couverture, auteur de la nouvelle :  « ZOLA »

 

Mon avis sur ce livre :

J’ai trouvé le livre intéressant car il nous apprend  que la volonté peut faire beaucoup de choses mais pas tout. Le vocabulaire n’est pas trop difficile à comprendre car il est du XIXe siècle ce qui n’est pas très vieux. Malgré cela certains mots qui mont posé une difficulté.

 

D B.  Jacques   4B                                                                           Mercredi 15 Octobre 2014

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 14:50

Auteur: Valérie Zenatti

Titre: Une bouteille dans la mer de Gazaune-bouteille-dans-la-mer-de-gaza-16390.jpg

Edition: Date:2005 ; Editeur: école des loisirs ; Collection: médium

Genre: Roman par lettres

Thème principal, les lettres de deux personnes qui ne se sont jamais rencontrés.

Résumé du sujet : C'est l'histoire d'une jeune fille qui s'appelle Tal elle habite à Jérusalem. Un jour il y eu un attentat moyen, il y eu 6 morts mais tout paraissait normal pour les habitants sauf pour Tal, elle n'arrivait pas à s'habituer à tous ces attentats. Elle écrivait chaque jour tout ce qui s'était passé dans la journée. Son frère, un medecin militaire, allait partir sur un bateau, mais Tal lui demanda une faveur avant qu'il parte.Elle lui demanda s'il pouvait jeter sa bouteille à la mer; dans cette bouteille il y avait une lettre avec écrit dessus une demande de paix pour son pays et celui de son pays avec son e-mail pour réponse, son frère accepta. Quelques jours plus tard elle reçut un e-mail, quelqu'un avait reçu sa bouteille.

Passage remarquable : "Dans ce paquet il y a une bouteille, j'aimerais que tu la jettes dans la mer à Gaza " ( page 25 )

Ce passage est le début de l'échange entre les deux personnes.

Jugement : Ce livre est agréable à lire. Je l'ai apprécié car il y a du suspens.

Emma D. 4ème A, Novembre 2012

Ce livre a été adapté au cinéma par Thierry Benisti  sous le titre "Une bouteille à la mer" en 2011. Il a reçu  le "Prix national lycéen du cinéma"

ligne separateur

Titre : Israël, une bouteille dans la mer de gaza          

Auteur : Valérie Zenatti

 Les personnages principaux sont : Tal et Naim. Mon personnage préféré est Naim car il a l’air méchant (citation 1) mais en vrai il est gentil (citation 2).

« Fifille à son papa tout pur et sensible » (p 27) 

« Je n’ai plus envie de me moquer de Tal » (p 84)

Même si j’avais le pouvoir de faire disparaître un personnage je n’en supprimerais aucun car ils sont tous indispensables dans le livre.

L’auteure a écrit ce livre pour nous montrer la communication de deux personnes de pays ennemis. Elle a essayé de dire que deux personnes peuvent communiquer par lettres même si elles ne se connaissent pas. Elle met du suspense pour inciter à poursuivre la lecture du livre.

Pour moi l’élément le plus important dans ce livre est l’amitié entre Tal et Naim.

« Je m’inquiète. Tu ne m’as pas répondu, ça fait déjà deux jours. » (p104)

Si je pouvais, j’aimerais demander à l’auteur pourquoi à la fin du livre Tal n’a pas répondu à Naim. Selon moi ce livre s'est terminé de cette façon car Naim avait peur de tomber amoureux de Tal.

Pour moi je n’ai jamais lu ce genre de livre car j’ai plutôt l’habitude de lire des romans policiers et pas des romans épistolaires (par lettres).

Karim, 4C, octobre 2013

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 15:41

 

Sous ce lien, une sixième lecture, arrivée en retard

Commentaires critiques mais bienveillants vivement souhaités.

Le roman complet en ligne 

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