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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 14:42
Titre : Le dernier des templiers
auteur : Arthur Ténor
Editeur : Hachette jeunesse
Collection : Le livre de poche jeunesse

Personnages principaux :
Pierre, le héros du livre ; son oncle, qui meurt vers le milieu de l'histoire; Gordji, le protecteur de Pierre; Mine, la petite boulangère dont Pierre est amoureux et Marco, un petit voyou.

Le sujet : Lorsque Pierre perd son oncle, il est le dernier des templiers et il a pour mission de retrouver le trésor des templiers. Il est aidé par ses compagnons, Mine, sa petite princesse de son âge, Marco et Gordji.

J'ai bien aimé ce livre car il est plein d'actions. Cependant, je lui mettrais 4/5 car j'ai trouvé l'histoire trop courte et la fin n'est pas vraiment un dénouement
.
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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 20:10

J'ai aimé ce livre même si je trouve qu'il est un peu trop descriptif si bien que parfois je me perdais et je devais relire le passage.
Le livre parle d'un jeune homme qui, un jour, est rentré dans une salle de jeu. Les gens le regardaient très bizarrement et ces gens étaient eux-mêmes très étranges. Le jeune homme était venu dans cette salle de jeu pour jouer sa dernière pièce d'or. Après avoir perdu sa dernière pièce d'or, il est sorti de la salle de jeu avec la ferme intention de mettre fin à ses jours. Il a longé les bords de la Seine, il voulait attendre la nuit pour se suicider. Pour patienter, il est allé se promener dans un magasin où l'on vend des vieilleries, il a raconté tous ses soucis au gérant du magasin qui lui a proposé une peau de chagrin ! Il avait bien prévenu le jeune homme que cette peau de chagrin était diabolique mais le jeune homme achète quand même la peau de chagrin, il sort du magasin et là, il rencontre trois de ses amis. A ce moment-là, on découvre la véritable identité du jeune homme : Raphaël de Valentin. Ses amis l'invitent à venir au repas fait pour l'ouverture d'un nouveau journal dont Raphaël de Valentin voulait devenir le rédacteur en chef. A la fin du repas, ses amis demandent à Raphaël de raconter pourquoi il voulait se suicider. A partir de ce moment, le jeune homme commence à raconter une bonne partie de sa vie. Au cours de son récit, il dit qu'un jour il a rencontré une jeune fille nommée Pauline et qu'ils étaient tombés fous amoureux l'un de l'autre.Beaucoup de gens viennent voir Raphaël pour lui raconter leurs soucis mais plus il faisait de voeux avec sa peau de chagrin, plus la peau de chagrin diminuait et plus Raphaël lui-même faiblissait. Un jour, Pauline, triste de voir l'état de Raphaël s'aggraver, voulut se suicider, Raphaël arriva à temps pour la rattraper mais Raphaël, très affaibli par les voeux exaucés, mourut alors dans ses bras.

Le livre entier en ligne ici


Et voici un extrait d'une adaptation pour la télévision :

 

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 18:13

La Route de Cormac Mac Carthy a obtenu le Prix Pulitzer du roman en  2007. Certes, un prix, fut-ce le Pulitzer, n'est pas une garantie. Souvenons-nous tout de même que ce même prix a récompensé Autant en emporte le vent de Margareth Mitchell en 1937, Les raisins de la colère de John Steinbeck en 1940, Le Vieil homme et la mer d'Hemingway en  1953 et j'en passe.


La Route pourtant ne me disait rien qui vaille, c'est un roman qu'on m'a conseillé, puis prêté mais dans lequel j'ai eu du mal à entrer : cette atmosphère de no future, cette route sans destination hormis un très hypothétique Sud, ce paysage désespérément  gris, calciné, couvert de cendres, ce froid, cette pluie glacée, ce grésil, cette mer de plomb, ces hordes sauvages des humains survivants  en quête de nourriture dans un monde où tout est mort, même les poissons dans la mer, les oiseaux, les souris, chats ou chiens, bref cet univers d'après, bien après, la fin du monde n'était pas de nature à me séduire.  A côté de cela, l'absurde de Camus, la « petite aube où [Meursault sera] justifié » sont apaisants, rassérénants, presque réconfortants.


Les amateurs de science-fiction _vous l'avez deviné, je n'en suis pas_ croiront peut-être trouver là une N-ième version d'un monde futur ; qu'ils se détrompent, La Route n'est pas un roman de science-fiction.


C'est ainsi que peu à peu, on s'attache à l'unique protagoniste, L'homme -il n'a pas d'autre nom et n'en a pas besoin_ et à son protégé, son enfant, celui qu'il faut à tout prix défendre contre les cannibales, le froid, la faim, la folie, la déshumanisation,...  Cet enfant, dont on se demande parfois s'il n'est pas simplement  le fruit de l'imagination du héros,  c'est  le « porteur de feu », le beau, le bien. Si le titre de « porteur de feu » dont il se trouve affublé, se justifie plutôt mal dans le roman, nul doute qu'il représente cependant le beau et le bien dans cet univers désespérément gris, sombre, sauvage.


La fin du roman m'a laissée perplexe : que penser de ce pseudo Rambo qui vient se substituer à L'homme, de cette pseudo-Sainte Famille qui recueille l'enfant, de ces prières à Dieu, jusque là, en tous cas, resté sourd ou simplement absent ? Camus, lui, avait une réponse à l'absurde, celle de Mac Carthy, elle, ne me paraît pas bien convaincante et plouf, revoilà l'humanité perdue dans l'impossible quête du sens.

Lecture pour adultes et lycéens.  Si vous avez l'occasion de lire aussi ce roman, votre avis m'intéresse.

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 14:13
titre: Mamie en miettes
auteure : Florence Aubry
édition : Rouergue
illustratrice : Marion Bataille

C'est l' histoire d' une petite fille nommée Gaëlle qui habite dans un appartement avec sa maman et sa mamie.
Un jour, elle va chez une copine mais c'est la mère de sa copine qui l' accueille. Cette femme voit que Gaëlle ne va pas bien alors Gaëlle lui raconte ce qui se passe dans sa famille....

Voici un court extrait du roman :

« J’appuie sur l’interrupteur, et j’ai un mouvement de recul. Mamie est là, dans son fauteuil roulant. L’engin prend toute la place, notre salle de bains est si petite.

Ma Mamie à moi, la seule, je n’en ai jamais eu d’autre.

Elle tourne le d
os au miroir. Son visage fripé est couvert d’entrelacs mats, les chemins asséchés de larmes récentes. Elle tiraille entre ses mains un pauvre mouchoir à carreaux. Elle me regarde et je vois qu’elle est bouleversée. "

J' ai bien aimé cette histoire parce qu'elle peut-être vraie. J' ai compris ce que la petite fille ressentait quand elle parlait de ses problèmes à la dame.

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20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 21:25
Titre: L'amour Toujours!
Auteur: Fanny Joly Catel
Editeur: Bayar Jeunesse
Collection: Les romans de Marion et Charles
Genre: Roman
 
J'ai bien aimé ce livre parce qu'il est romantique, il est facile à lire, les mots ne sont pas durs à comprendre. Et il y a de l'action, c'est ça qui rend l'histoire drôle.



Je conseille ce livre à tous ceux qui aiment les histoires drôles, romantiques.
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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 21:57
Titre : Mon amie, Anne Frank
Auteur : Alison Leslie Gold
Edition : Bayard Edition
Illustration de couverture : Pierre Mornet

Un jour de juillet 1942, Anne Frank, une jeune fille Juive d'Amsterdam disparaît avec toute sa famille. Son journal est devenu un témoignage majeur de la Seconde Guerre mondiale. Voici le récit de sa meilleure amie, Hannah Goslar, qui, elle, a survécu à l'Holocauste. A travers ce nouveau témoignage, le lecteur va découvrir l'amitié de deux enfants juives pendant la guerre; les humiliations et les souffrances infligées par les nazis, et, dans l'horreur quotidienne des camps, un intense moment d'espoir.

Ce livre m'a beaucoup plu, le récit est très intéressant et en rapport avec notre programme d'histoire. Ce roman aide les lecteurs à mieux connaître Anne Frank et à reconstituer son histoire, avant pendant et après la guerre. Ce livre m'a permis de comprendre le fonctionnement des nazis avec les juifs pendant le Seconde Guerre Mondiale et aussi de voir les conditions de vie dans lesquelles les prisonniers vivaient dans les camps de concentration.
Je recommande ce livre à ceux qui sont intéressés par l'histoire d'Anne Frank et de son entourage. C'est un bon livre aussi pour découvrir l'horreur quotidienne que vivaient ces personnes, toujours dans la peur et l'angoisse de se faire arrêter. Il est intéressant et passionnant mais peut-être parfois un peu dur par les événements qui s'y déroulent.


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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 12:26
J'ai tout aimé dans ce livre, le grand suspense,  la façon de raconter quand tout accuse l'héroïne puis que l'on découvre que c'est une histoire de famille.
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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 11:08
Titre : Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire
Tome : Le pénultième Péril (tome 12)
Illustrateur : Brett Helquist
Editeur : Nathan





Dans cette aventure, les orphelins Baudelaire, Violette, Klaus et Prunille sont employés dans un hôtel comme grooms. Ainsi, ils doivent chercher des indices pour arriver à vivre enfin en paix car le comte Olaf les poursuit toujours.

J'ai bien aimé le suspense et la façon dont l'histoire est racontée.
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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 10:34
Auteur : Horowitz Anthony
Titre : Skeleton Key
Série : Alex Rider, tome 3
Collection : Le Livre de poche jeunesse
Editions : Hachette Jeunesse

Carte d'identité du protagoniste
Nom : Rider
Prénom : Alex
Age : 14 ans
fonction : espion au MI 6 (engagé après la mort de son oncle)


Principaux personnages de ce tome 3

Alex Rider : espion à la MI 6
Alexei Sarov : le méchant
Conrad : l'un des bras droits de Sarov


Je prends encore le même auteur, la même série car ces livres sont pleins d'aventures, de fiction. J'ai toujours envie de lire d'autres tomes pour connaître la suite.
Dans ce tome, ce que j'ai aimé c'est de voir comment le méchant peut s'attacher à un gentil : dans ce livre, le méchant, Sarov, voudrait avoir Alex comme fils.(pages 223-224)
Le moment que je n'ai pas aimé c'est lorsque l'auteur laisse croire qu'Alex est mort, p 307-308. Alors, j'ai cru que tout était fini !
Je pense que je finirai tous les tomes d'Alex Rider avant de commencer une autre série.


 

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16 janvier 2009 5 16 /01 /janvier /2009 22:34
Emma est une jeune fille anorexique. Lors de la mort de sa grand-mère, elle commence à avoir des flash-back et revoit sa grand-mère lorsqu'elle était à l'hôpital.
La grand-mère d'Emma est d"origine polonaise, elle a vécu la guerre 39-45 et a travaillé au camp de concentration de Sobibor. Pendant qu'elle travaillait dans ce camp, elle a entendu des couversations douteuses entre les officiers aux heures des repas. Elle aurait pu raconter tout ce qu'elle avait entendu alors, pour éviter ça, elle a été condamnée à mort.
Un jour, elle croisa le regard de Jacques Desroches, un soldat français qui travaillait au camp de Sobibor, ça a été le coup de foudre. Jacques écrivait un journal où il notait  tout ce qu'il se passait dans le camp.
Ce journal, Emma l'a trouvé en rangeant les affaires de sa grand-mère lorsque celle-ci est décédée. En effet, Emma avait dû aider ses parents à ranger les affaires de sa grand-mère. Emma a caché ce journal à son grand-père, anéanti par la mort de sa femme, et à ses parents. Elle a lu ce journal et trouvé une note à la fin, écrite de la main de sa grand-mère, disant que Jacques Desroches était mort sur le front russe. C'est alors que Emma découvre un secret très lourd que seuls son grand-père et sa grand-mère connaissaient.


Le Mot de l'éditeur : "Sobibor"
«Je l'ai fait pour qu'on m'arrête», répond Emma après avoir volé des biscuits dans un supermarché. Que se cache-t-il derrière ses mots, sa maigreur extrême, sa beauté douloureuse ? Quelle est l'origine de son anorexie : l'indifférence de ses parents, le silence, les mensonges savamment entretenus ? Emma veut savoir. Emma veut comprendre. La découverte d'un vieux cahier fera bientôt surgir du passé d'épouvantables secrets.

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